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Témoignages 2019/2020

Antoine COLLILIEUX

Après avoir suivi une licence de droit général à Belfort, j’ai longtemps hésité à suivre un Master en droit de l’entreprise. Finalement, j’ai entendu parler du Master 3C au cours de ma 3ème année, et ai décidé de m’y orienter en raison de mes appétences pour les nouvelles technologies et toutes les problématiques juridiques qui peuvent se poser.

J’ai donc effectué mon Master 1 et Master 2 à Besançon. L’avantage de ce diplôme réside dans l’articulation entre les enseignements juridiques et les enseignements techniques. Le but n’est pas de faire de nous des experts, mais de pouvoir avoir une double casquette avec des compétences dans les deux domaines. Par ailleurs, au cours du M1 et du M2, nous avons pu rencontrer de nombreux professionnels de différents milieux, ce qui permet d’avoir une approche beaucoup plus pratique.

J’ai effectué mon stage de M1 au sein du Grand Belfort Communauté d’Agglomération, où j’ai pu assister le DPO notamment dans la réalisation d’analyses d’impact. Cette année, je suis depuis septembre en alternance au sein de l’entreprise Peugeot Motocycles, dans laquelle j’exerce des fonctions de juriste.

L’avantage de cette formation en alternance est l’articulation entre les cours théoriques et la mise en pratique en entreprise. Personnellement, cela m’apporte également une formation plus générale, étant confronté à des problématiques relevant tant de la protection des données personnelles que du droit des affaires, de la propriété intellectuelle, …

Je ne peux donc que recommander de suivre cette formation en alternance.

Lisa DAVID

J’ai décroché ma licence de droit à l’Université de Franche-Comté. Ensuite, en raison de mon attrait pour les nouvelles technologies, j’ai choisi d’intégrer le Master Droit du Numérique afin d’acquérir des compétences plus techniques. J’ai particulièrement aimé le côté pratique de la formation, notamment avec les exercices de gestion de crise, les travaux pratiques en informatique, ou encore le déplacement au Forum International de Cybersécurité à Lille, où l’on a pu échanger avec des professionnels de la cybersécurité. En bref, ce Master m’a permis d’adopter un comportement responsable concernant la protection des données et m’a apporté le désir de transmettre ces nouvelles connaissances afin de responsabiliser les autres. L’année prochaine, je ne souhaite pas intégrer directement le marché du travail et pense continuer mes études pour compléter ma formation.

Valentine GUIBERT

Après à une Licence de Droit, j’ai suivi un premier Master 1 Droit international à Lyon III, puis j’ai décidé de me réorienter en droit du numérique pour compléter ma formation, j’ai donc fait un M1 Droit du numérique à l’Université Capitole I à Toulouse.

Après avoir effectué mon stage, qui se déroulera normalement au sein de l’entreprise Elis service de mars à aout, je souhaite exercer la profession de DPO pendant quelques années. Par la suite j’envisage de passer le CRFPA, pour me tourner vers la profession d’avocat spécialisé en droit du numérique (sécurité informatique, protection des données personnelles, cybercriminalité)

J’ai décidé d’intégrer le M2 3C car il était la suite logique du M1 effectué l’année précédente. En effet, après avoir étudié la règlementation sur les données personnelles, des connaissances plus techniques étaient nécessaires afin de parfaire ma formation et d’obtenir les compétences nécessaires pour débuter ma carrière. De plus, la labélisation par l’ANSSI et des exercices pratiques tels que les gestions de crises ont été décisifs dans le choix de ce master.

Wilfried IME

Mon cursus dans l’enseignement supérieur a débuté par un an au sein du cycle préparatoire intégré de l’Ecole nationale d’ingénieurs de Brest (ENIB). Cette expérience m’a permis d’acquérir les connaissances de base dans les secteurs scientifique, technique, humain et linguistique ainsi que les notions fondamentales de l’algorithmique et de développement du sens critique. Comme de nombreuses personnes de ma génération j’ai très vite été initié et fasciné par l’univers numérique tant par les possibilités offertes que par son intuitivité. J’hésitais néanmoins entre le droit et l’informatique qui m’apparaissaient à l’époque comme des choix antagonistes. Par la suite, j’ai obtenu un diplôme universitaire de technologie (DUT) en informatique m’assignant la qualité de technicien en informatique, et m’habilitant à participer à la conception, la réalisation et la mise en œuvre de systèmes informatiques correspondant aux besoins des utilisateurs finaux. De cette formation, j’ai gardé un savoir-faire sur le plan technique, un grand intérêt pour la mise à jour régulière de mes connaissances en matière de progrès technologiques, et une courte expérience dans le monde professionnel.

J’ai poursuivi mon cursus par une année de licence Méthodes informatiques appliquées à la gestion des entreprises (L3 MIAGE), qui s’inscrit dans le prolongement naturel du DUT. Après la validation de mon stage de fin d’études, j’ai pris la décision de changer mon domaine de formation, en commençant un cursus juridique menant à une licence en Droit général puis au M1 Droit du numérique au sein de l’université Toulouse 1 Capitole. Mon attrait pour le droit m’empêchait d’envisager une carrière purement informatique. C’est la raison pour laquelle j’ai recherché, pendant ma dernière année d’étude en informatique, les voies qui me permettraient d’allier les compétences acquises avec le domaine juridique. C’est après avoir pris connaissance de l’offre des masters que je me suis inscrit à la faculté de droit.

Mon approche pluridisciplinaire de l’analyse et de la résolution de problème issu de mon cursus universitaire mêle études scientifiques et sciences humaines. Cette approche permettant à terme de donner du relief et de la finesse à l’expertise par une connaissance approfondie du domaine auquel se confronteront des problématiques complexes. C’est non seulement une connaissance théorique mais également pratique qu’exige la spécificité du domaine et de son emprise sur l’ensemble de l’activité humaine.

La cybersécurité est pour moi un domaine passionnant de par les défis qu’elle soulève. Au cœur de l’actualité et en constante mutation, elle nécessite une veille en adéquation avec mon goût pour l’enquête, la recherche et l’analyse de l’information. La cybersécurité est également l’un des remparts essentiels à l’absorption des ondes de choc émises par la révolution numérique auprès des entreprises, et se sentir utile dans le cadre de son métier est une perspective qui me motive d’autant plus. Les métiers de la cybersécurité ont par ailleurs un rôle de sensibilisation auprès de l’ensemble des usagers des outils informatiques qui m’intéresse beaucoup.

Théophile JOUVENOT

J’ai obtenu une licence en droit général à l’université de Besançon. Je me suis orienté vers le Master droit du Numérique 3C car je voulais sortir de ce cursus général et mélanger le droit avec les nouvelles technologies.

J’ai également choisi le Master de Besançon car il s’agit d’une université à taille humaine ou le contact avec le corps enseignant ainsi que les étudiants est facile.

Le Master droit du Numérique 3C est un bon compromis entre le droit et la pratique du monde professionnel. De plus le Master n’en est qu’à son début, il va donc encore évoluer et toujours pouvoir s’adapter aux futurs enjeux.

Léo LEBORGNE

J’ai fait une licence de droit privé à Toulouse 1 Capitole que j’ai obtenue avec mention. Cette formation est très généraliste et j’avais besoin de trouver une voie qui correspondait plus à mes centres d’intérêt. Lors du choix de la spécialisation en master 1 j’ai longuement hésité entre le droit du numérique et le droit éthique. Finalement mon appétence pour l’univers cyber et le machine learning m’ont poussé vers le master 1 numérique. Les matières qui nous ont été dispensées cette année-là ont accentué ma curiosité sur l’actualité high-tech. C’est donc tout naturellement que j’ai souhaité rejoindre la formation de l’UFR et le master 2 CCC. L’avantage de cette formation est indéniablement qu’elle ne se limite pas à un aspect purement juridique et apporte une véritable dualité de compétence à la fois sur le point de vue juridique et technique. À l’issue de cette année de master je pense m’orienter vers le consulting cyber, afin de conserver cette approche technique et perfectionner mes connaissances pratiques en la matière.

Maëlle LE MOAL

Mon cursus universitaire débute avec l’obtention d’une licence de Droit public obtenue avec mention à Nantes, spécialisée en droit des collectivités territoriales et en domanialité publique. Si j’ai toujours eu un attrait pour le droit public, j’ai souhaité m’orienter de nouveau dans un parcours de droit privé avec le Master 1 de Droit de la propriété intellectuelle de Nantes également, me permettant d’être en lien avec mon activité de dessinatrice.

Mon choix d’intégrer le Master 2 Droit du numérique CCC de Besançon trouve son origine dans ma passion pour l’équitation. En effet, je réalise depuis plusieurs années des jeux en ligne équestre et c’est en cela que l’univers du numérique m’a toujours intéressé.

Le Master 2 CCC m’a permis d’acquérir de solides connaissances dans le domaine de la sécurité informatique, de comprendre la construction d’un réseau, les problématiques cyber à l’international etc. Le Master 2 m’a permis de me découvrir une nouvelle passion pour la gestion de communication sur les réseaux sociaux, en particulier instagram dans le cadre de mon projet tuteuré.

Afin d’acquérir de l’expérience dans ce domaine, je réalise un stage au sein d’une entreprise espagnole à Madrid spécialisée dans la numérisation et externalisation des processus administratifs et financiers, la cyberveille, la signature électronique et de la présentation télématique de documents.

La réalisation de mon premier stage en cabinet d’avocats en Espagne m’a convaincu dans mon objectif de devenir avocate trilingue et d’obtenir une spécialisation en droit équin afin d’allier mes deux passions, le droit du numérique et le monde équestre. Je souhaiterais travailler pour des entreprises internationales équestres opérant dans le domaine du numérique telles que des selleries en ligne, application de gestion des concours internationaux, sites d’élevage, entreprises innovant dans les technologies équines et bien d’autres.

Martin MORIN

Stagiaire au greffe du tribunal de commerce de Belfort –

Je suis titulaire d’une licence de droit que j’ai obtenue à l’université de franche comte. Afin de me spécialiser dans un domaine qui me passionne, je me suis tourné vers un master de droit du numérique cyberveille, cybersécurité, cyberdéfense.

Le fait d’étudier le droit dans un domaine qui me passionne est une opportunité non négligeable. Après avoir effectué mon stage au sein du tribunal de commerce, j’envisage d’intégrer le service juridique d’une entreprise ayant un lien avec les communications électroniques, mon profil correspondant parfaitement à ce type de société.

J’ai également rédigé un mémoire sur les clauses de propriété intellectuelle dans les conditions générales des services de partage de contenus en ligne. Le contentieux du numérique est un domaine très récent qui est en constante évolution, pouvoir travailler dans ce domaine est pour moi un objectif de carrière.

Corentin TILLEUL

Ayant depuis longtemps un attrait pour les nouvelles technologies, notamment depuis un stage en cabinet d’avocat ou j’ai pu suivre une affaire concernant l’infection d’un réseau informatique par un virus dridex, il a donc été logique pour moi, après l’obtention de ma licence de droit à l’Université Paris 5 Descartes, de me spécialiser en droit du numérique.

Cette spécialisation qui s’est faite sur 2 ans au sein du Master « Cyberveille, Cyberdéfense Cybersécurité » à Besançon m’a permis de développer mes connaissances théoriques mais également pratique en matière de protection des données personnelles. Elle m’a dès lors permis d’acquérir les compétences nécessaires à l’exercice du métier que je souhaite pratique, celui de DPO.

Kévin APPLENCOURT

Je suis actuellement en Master 2 droit du numérique, parcours Cyberveille, cybersécurité, cyberdéfense. Auparavant j’ai fait une licence de droit général à l’université de Bourgogne à Dijon. Depuis très longtemps intéressé par l’informatique, le numérique et toutes les nouvelles technologies de manière générale j’ai trouvé ce Master par pur hasard, mais quel joyeux hasard puisque cela m’a permis de renouer avec ma passion. A la fin de ce Master je souhaiterais être engagé en tant que délégué à la protection des données et/ou juriste d’entreprise. J’ai d’ailleurs un stage qui correspond parfaitement à cette perspective professionnelle dans l’entreprise ERDiL qui m’avait, en M1, accueillis pour un stage de deux mois. Cela sera l’occasion pour moi de poursuivre mon travail et de voir l’avancement des procédures mises en place.

Anton BERMAN

 J’ai effectué ma licence de droit à Besançon, et c’est à la fin de ma 2e année que j’ai appris l’ouverture du master 2 CCC. Très intéressé par les enseignements qu’il proposait, j’y ai donc été intégré à l’issue de ma licence. Ce diplôme m’a permis d’acquérir une solide culture en numérique et même certaines compétences en informatiques, tout en poursuivant des apprentissages juridiques. Mon stage de deuxième année aura lieu en gendarmerie, et j’espère pouvoir travailler dans la défense à l’issue de cette période.

Adrien CHAMPENOIS

A la suite de l’obtention de ma licence en droit privée à l’Université François Rabelais à Tours, l’envie de joindre mon appétence pour les nouvelles technologies au domaine juridique s’est trouvée évidente. C’est la raison pour laquelle j’ai effectué un Master 1 en droit du numérique à l’université de Toulouse puis intégré le Master 2 CCC à Besançon. La diversité qui ressort de cette formation proposée par l’Université de Franche Comté se trouve être très enrichissante. L’alliage des enseignements juridiques et techniques nous permet d’appréhender les enjeux cyber de manière transversale. Cet apport pluridisciplinaire nous offre ainsi un éventail varié d’insertions professionnelles.

Corentin TILLEUL

Ayant depuis longtemps un attrait pour les nouvelles technologies, notamment depuis un stage en cabinet d’avocat ou j’ai pu suivre une affaire concernant l’infection d’un réseau informatique par un virus dridex, il a donc été logique pour moi, après l’obtention de ma licence de droit à l’Université Paris 5 Descartes, de me spécialiser en droit du numérique.

Cette spécialisation qui s’est faite sur 2 ans au sein du Master « Cyberveille, Cyberdéfense Cybersécurité » à Besançon m’a permis de développer mes connaissances théoriques mais également pratique en matière de protection des données personnelles. Elle m’a dès lors permis d’acquérir les compétences nécessaires à l’exercice du métier que je souhaite pratique, celui de DPO.

Paul TISSOT

Diplômé d’une licence de Droit à l’Université de Franche-Comté, j’ai intégré le Master Droit du Numérique parcours 3C, qui lie mon intérêt pour les nouvelles technologies et le Droit. 
En effet je suis notamment passionné d’intelligence artificielle, c’est pourquoi j’ai réalisé mon mémoire de première année sur la justice prédictive et l’utilisation faite de l’IA. 
Cette formation m’a permis de compléter mes connaissances juridiques mais également d’acquérir des notions de techniques et de culture informatique. 
A la fin du Master 2, je réalise mon stage dans l’entreprise ProNewTech, société luxembourgeoise de Consulting et d’Engineering, dans laquelle je travaillerai au sein du service juridique. 

Nos diplômés de la promotion 2018/2019

Olivier PETITJEAN

Après l’obtention d’un bac littéraire avec mention, Olivier s’est orienté en 2011 vers des études de philosophie puis s’est réorienté en faculté de droit à Belfort après obtention de son année. Il a obtenu sa licence avec mention en 2015, et a intégré le master 1 Droit Privé de Strasbourg dans lequel il a pu recentrer ses ambitions professionnelles. Ainsi, il s’est tourné vers le master 1 Droit Privé de Besançon et, par la suite, le Master 2 Droit du Numérique.

1- Qu’avez-vous pensé de manière générale du Master 2 ?

Ce Master 2 est apparu pour beaucoup comme un objet de curiosité lors de sa création. Beaucoup étaient intéressés mais la question de sa viabilité était aussi sur toutes les lèvres. Après avoir suivi cette formation, je peux dire que sa viabilité n’est pas une question à poser. Le master possède toutes les qualités qui permettent d’en faire un parcours très intéressant et surtout très professionnalisant.

2- Avez-vous eu des difficultés à trouver un stage? Puis, à l’issue du Master à vous insérer dans le monde professionnel?

La plus grande difficulté a été de choisir un stage parmi la multitude de propositions que nous avons reçu. Pour ma part, j’avais reçu une proposition d’un grand groupe bisontin, d’une PME informatique de Haute-Saône, ainsi que d’un grand cabinet de consulting parisien. Les offres étaient donc variées et toutes très intéressantes.

A la sortie du Master, l’entreprise où j’effectuais mon stage souhaitait maintenir nos relations de travail. Cependant j’ai décidé de créer ma propre société « TALOS PMC » qui officie dans la protection juridique des données des entreprises et leur mise en conformité RGPD. J’ai depuis reçu plusieurs offres d’emplois que je traite par le biais de ma société avec mes associés.

3- Quels sont, selon vous, les avantages de la formation?

Les avantages de la formation sont nombreux mais je noterais en particulier la rareté de ce genre de formation, et son aspect technique en plus de son côté juridique. Le juridique est un domaine qui a souvent tendance à être surchargé par un trop grand nombre de candidats, mais ce n’est pas le cas de ce domaine « Juri-geek » qui apporte de nouveaux challenges aux entreprises. Cette formation nous donne une valeur supplémentaire non négligeable.

4- Si c’était à refaire, le referiez-vous ?

Bien évidemment, je n’hésiterais pas une seule seconde.

5- Vous êtes vous senti épanoui pendant la formation ?

Je faisais partie de la première promotion de ce Master, j’ai donc étrenné le master avec tout l’intérêt de découvrir ce nouvel horizon.

Ce que je retiens de cette formation est la cohésion de groupe formidable entre étudiants, mais également avec les enseignants.

6- Comment en avez-vous entendu parler ?

J’étais étudiant dans le Master 1 de droit privé de l’Université de Besançon et en apprenant la création de ce master j’ai forcément été intéressé par le côté à la fois innovant et inattendu de cette formation. Cet intérêt m’a amené à en faire mon unique vœu à la sortie de mon master 1.

7- Qu’avez-vous pensez de la plus value à mêler technique et juridique ?

C’est sans aucun doute le plus grand atout de ce master qui séduit bon nombre de professionnels et qui permet aux étudiants d’acquérir une compétence qu’on ne trouve pas à l’heure actuelle. Plusieurs professionnels ont souligné qu’ils étaient ravis de pouvoir enfin parler « technique » avec des professionnels de droit sans avoir à expliquer pendant plusieurs minutes comment celle-ci fonctionnait. Les Juristes ayant cette compétence sont rares et donc très appréciés par les professionnels.

Camille GUILLEN

Camille a obtenu une Licence en sociologie, puis a poursuivi en Master 1 AES Parcours Action Politique et Politique Publique. C’est dans ce contexte qu’elle a intégré le Master 2 Droit du numérique, dans lequel elle a pu effectuer son stage au rectorat de Besançon au service juridique et à la délégation académique au numérique éducatif.

1- Qu’avez-vous pensé de manière générale du Master 2 ?

Le master qui est proposé est à la fois innovant et très complet. S’ajoute aux cours classiques d’autres facultés de droit, l’aspect Cyber qui est vraiment très intéressant. À cet enseignement de qualité s’ajoute des professeurs et professionnels qui nous donnent envie de nous investir.

2- Avez-vous eu des difficultés à trouver un stage? Avez-vous réussi à vous s’insérer dans le monde professionnel dès l’obtention de votre diplôme ?

Concernant le stage, j’ai envoyé quelques demandes, et j’ai eu rapidement des positives. Je n’avais donc plus qu’à choisir.

Actuellement, je suis en poste dans une entreprise locale bisontine.

3- Quels sont selon vous les avantages de la formation?

L’avantage est d’avoir un double enseignement informatique et juridique. Cela nous permet d’avoir une vision plus large que la vision simplement juridique.

4- Si c’était à refaire, le referiez-vous ?

Sans aucun doute.

5- Vous êtes-vous senti épanouie pendant la formation ?

J’ai adoré l’entraide entre les étudiants du Master. J’ai beaucoup appris durant cette année, fait de belles rencontres et par la force des choses, je me suis énormément épanouie.

6- Comment en avez-vous entendu parler ?

J’ai découvert le master à la soirée des masters mise en place chaque année par la faculté.

7- Qu’avez-vous pensé de la plus value à mêler technique et juridique ?

Je pense que c’est ce qui différencie ce Master des autres que l’on peut trouver sur le marché, et ce qui permet de ne pas seulement s’arrêter à la théorie.

Laurène POURCELOT

Laurène avait pour projet professionnel d’être officier de police ou juriste d’entreprise. Elle a effectué une licence de droit à Besançon axé droit privé. Par la suite, elle a effectué son master 1 Droit Privé à Besançon en choisissant des matières en lien avec le numérique. Elle a appris que le Master 2 Droit du Numérique ouvrait ses portes, et s’y est inscrite. Elle souhaite devenir juriste spécialisé en droit du numérique ou intégrer la police.

1- Qu’avez-vous pensé de manière générale du Master 2 ?

D’une manière générale, j’ai vraiment apprécié ce Master 2. J’ai trouvé les cours très intéressants, enrichissants, et très complets. Les professeurs sont également compétents. De plus, même si l’on n’a pas fait le Master 1 Droit du Numérique, les cours sont très accessibles.

2- Avez-vous eu des difficultés à trouver un stage, et à l’issue du Master à vous insérer dans le monde professionnel?

Pour trouver un stage je n’ai pas rencontré de difficultés. Les entreprises étaient assez curieuses quant à cette formation et étaient très intéressées d’accueillir un stagiaire dans leur établissement.

En ce qui concerne l’insertion professionnelle, je suis actuellement à la recherche d’un emploi, mais je me concentre pour le moment à une recherche en Franche-Comté uniquement. Si l’on cherche dans toute la France, c’est bien sûr beaucoup plus simple de trouver un emploi.

3- Quels sont selon vous les avantages de la formation?

Selon moi, l’un des gros avantages de la formation est qu’elle est unique en France. Nous sommes dans les premiers à recevoir ce type d’enseignements, ce qui est un avantage sur le marché du travail. De plus, la formation est complète d’un point de vue juridique.

4- Si c’était à refaire, le referiez-vous ?

Je le referais sans hésiter ! J’ai adoré cette année qui a été pour moi vraiment passionnante, je ne regrette pas mon choix et je sais qu’il y a beaucoup de débouchés, et que d’autres vont se créer au fur et à mesure des avancées technologiques.

5- Vous êtes-vous senti épanouie pendant la formation ? 

Oui, je me suis vraiment épanouie lors de cette formation. Je pense même que c’est l’année que j’ai préféré de tout mon parcours scolaire. Tout d’abord car je suis une passionnée des nouvelles technologies en général, mais aussi car l’équipe enseignante était vraiment super et très accessible quand le moindre souci se posait. Enfin, il y avait une bonne ambiance au sein de la promo.

6- Comment en avez-vous entendu parler ?

J’en ai entendu parler lors de mon année de Master 1.

7- Qu’avez-vous pensez de la plus value à mêler technique et juridique ?

Cet aspect du Master était très intéressant. La partie juridique est essentielle bien sûr pour comprendre tous les principes qui existent autour de la protection des données, mais la partie technique est importante également quand on fait ce genre de formation car elle permet d’être plus à l’aise avec l’outil informatique, ce qui est indispensable pour le type de métiers que l’on souhaite exercer à la sortie de la formation.

Anthony A.

Anthony a toujours eu pour objectif d’intégrer la police nationale ou les forces de sécurité de notre pays. Après l’obtention d’un baccalauréat ES, il a effectué une licence en droit privé à l’Université Jean Moulin Lyon 3 pour enchaîner un master 1 Droit Pénal Sciences Criminelles – Mention Sécurité Intérieure dans la même faculté. Il a ensuite choisi de quitter Lyon 3 pour intégrer le Master 2 Droit du Numérique de Besançon afin de renouer avec sa passion pour l’informatique et coller aux enjeux actuels de la sécurité intérieure. Il est actuellement assistant de justice au parquet d’un TGI, et prépare les concours d’entrée de la police.

1- Qu’avez-vous pensé de manière générale du Master 2 ? 

Dans l’ensemble, j’ai été vraiment satisfait de ce master. Une ambiance très familiale avec un corps enseignant très accessible et à l’écoute, pour toutes questions.

Mais dans l’ensemble j’ai été agréablement surpris par l’implication des professeurs, le mélange technique informatique et juridique. C’est un vrai point fort du Master qu’il faut savoir mettre en avant sur nos CV. Je soulignerais également que les interventions de personnes extérieures étaient de qualité.

2- Avez-vous eu des difficultés à trouver un stage? Puis à la sortie du diplôme à vous insérer dans le monde professionnel? 

J’ai eu un stage dans un service juridique d’une multinationale, car le délai du stage de fin d’étude ne me permettait pas de le réaliser dans le domaine public.

Ce stage a vraiment été génial. D’ailleurs je l’ai trouvé grâce à la fac. On avait beaucoup d’offres venant du privé. En réalité pour le privé, nous n’avions pas à chercher, les stages venaient à nous.

3- Quels sont selon vous les avantages de la formation? 

Pour les avantages de la formation je vais les lister :

– Un mélange technique / juridique qui colle parfaitement aux besoins actuels des services juridiques/légal tech etc .. Le seul en France!

– Une visibilité qui s’est tout de suite fait sentir dès l’ouverture du Master

– Une proximité avec le corps enseignant qui permet une vraie qualité d’enseignement

4- Si c’était à refaire, le referiez-vous ? 

Si c’était à refaire, c’est certain je le ferais sans hésiter une seconde. Je ne regrette absolument pas mon choix. J’étais super bien dans ce master !

5- Vous êtes vous senti épanouie pendant la formation ? 

Comme je vous le laisse penser dans ma réponse précédente, oui j’étais très épanoui. Ça m’a fait beaucoup de bien de mélanger la pratique du droit que j’adore avec le monde de la technologie.

6- Comment en avez-vous entendu parler? 

Par une amie. Elle a également postulé au Master.

7- Qu’avez-vous pensez de la plus value à mêler technique et juridique ?

La plus value est juste extrêmement importante à mon sens. Pour avoir été en stage dans une très grosse entreprise implantée dans 21 pays, et donc avec un service IT dédié, j’ai vu que j’étais vraiment sollicité quand il fallait faire le lien entre la théorie juridique et le côté très pratico-pratique de la mise en place informatique. Je pense qu’on peut vraiment être des éléments clés dans une meilleure application des obligations légales au niveau informatique.

On le voit aussi dans d’autres domaines, j’ai notamment fait une formation à la cybersécurité pour des sociétaires de Groupama Bourgogne-Franche-Comté qui voulait justement ce mélange, technique / juridique de manière compréhensible pour des « non-initiés » !