Antoine COLLILIEUX
Après avoir suivi une licence de droit général à Belfort, j’ai longtemps hésité à suivre un Master en droit de l’entreprise. Finalement, j’ai entendu parler du Master 3C au cours de ma 3ème année, et ai décidé de m’y orienter en raison de mes appétences pour les nouvelles technologies et toutes les problématiques juridiques qui peuvent se poser.
J’ai donc effectué mon Master 1 et Master 2 à Besançon. L’avantage de ce diplôme réside dans l’articulation entre les enseignements juridiques et les enseignements techniques. Le but n’est pas de faire de nous des experts, mais de pouvoir avoir une double casquette avec des compétences dans les deux domaines. Par ailleurs, au cours du M1 et du M2, nous avons pu rencontrer de nombreux professionnels de différents milieux, ce qui permet d’avoir une approche beaucoup plus pratique.
J’ai effectué mon stage de M1 au sein du Grand Belfort Communauté d’Agglomération, où j’ai pu assister le DPO notamment dans la réalisation d’analyses d’impact. Cette année, je suis depuis septembre en alternance au sein de l’entreprise Peugeot Motocycles, dans laquelle j’exerce des fonctions de juriste.
L’avantage de cette formation en alternance est l’articulation entre les cours théoriques et la mise en pratique en entreprise. Personnellement, cela m’apporte également une formation plus générale, étant confronté à des problématiques relevant tant de la protection des données personnelles que du droit des affaires, de la propriété intellectuelle, …
Je ne peux donc que recommander de suivre cette formation en alternance.
Lisa DAVID
J’ai décroché ma licence de droit à l’Université de Franche-Comté. Ensuite, en raison de mon attrait pour les nouvelles technologies, j’ai choisi d’intégrer le Master Droit du Numérique afin d’acquérir des compétences plus techniques. J’ai particulièrement aimé le côté pratique de la formation, notamment avec les exercices de gestion de crise, les travaux pratiques en informatique, ou encore le déplacement au Forum International de Cybersécurité à Lille, où l’on a pu échanger avec des professionnels de la cybersécurité. En bref, ce Master m’a permis d’adopter un comportement responsable concernant la protection des données et m’a apporté le désir de transmettre ces nouvelles connaissances afin de responsabiliser les autres. L’année prochaine, je ne souhaite pas intégrer directement le marché du travail et pense continuer mes études pour compléter ma formation.
Valentine GUIBERT
Après à une Licence de Droit, j’ai suivi un premier Master 1 Droit international à Lyon III, puis j’ai décidé de me réorienter en droit du numérique pour compléter ma formation, j’ai donc fait un M1 Droit du numérique à l’Université Capitole I à Toulouse.
Après avoir effectué mon stage, qui se déroulera normalement au sein de l’entreprise Elis service de mars à aout, je souhaite exercer la profession de DPO pendant quelques années. Par la suite j’envisage de passer le CRFPA, pour me tourner vers la profession d’avocat spécialisé en droit du numérique (sécurité informatique, protection des données personnelles, cybercriminalité)
J’ai décidé d’intégrer le M2 3C car il était la suite logique du M1 effectué l’année précédente. En effet, après avoir étudié la règlementation sur les données personnelles, des connaissances plus techniques étaient nécessaires afin de parfaire ma formation et d’obtenir les compétences nécessaires pour débuter ma carrière. De plus, la labélisation par l’ANSSI et des exercices pratiques tels que les gestions de crises ont été décisifs dans le choix de ce master.
Wilfried IME
Mon cursus dans l’enseignement supérieur a débuté par un an au sein du cycle préparatoire intégré de l’Ecole nationale d’ingénieurs de Brest (ENIB). Cette expérience m’a permis d’acquérir les connaissances de base dans les secteurs scientifique, technique, humain et linguistique ainsi que les notions fondamentales de l’algorithmique et de développement du sens critique. Comme de nombreuses personnes de ma génération j’ai très vite été initié et fasciné par l’univers numérique tant par les possibilités offertes que par son intuitivité. J’hésitais néanmoins entre le droit et l’informatique qui m’apparaissaient à l’époque comme des choix antagonistes. Par la suite, j’ai obtenu un diplôme universitaire de technologie (DUT) en informatique m’assignant la qualité de technicien en informatique, et m’habilitant à participer à la conception, la réalisation et la mise en œuvre de systèmes informatiques correspondant aux besoins des utilisateurs finaux. De cette formation, j’ai gardé un savoir-faire sur le plan technique, un grand intérêt pour la mise à jour régulière de mes connaissances en matière de progrès technologiques, et une courte expérience dans le monde professionnel.
J’ai poursuivi mon cursus par une année de licence Méthodes informatiques appliquées à la gestion des entreprises (L3 MIAGE), qui s’inscrit dans le prolongement naturel du DUT. Après la validation de mon stage de fin d’études, j’ai pris la décision de changer mon domaine de formation, en commençant un cursus juridique menant à une licence en Droit général puis au M1 Droit du numérique au sein de l’université Toulouse 1 Capitole. Mon attrait pour le droit m’empêchait d’envisager une carrière purement informatique. C’est la raison pour laquelle j’ai recherché, pendant ma dernière année d’étude en informatique, les voies qui me permettraient d’allier les compétences acquises avec le domaine juridique. C’est après avoir pris connaissance de l’offre des masters que je me suis inscrit à la faculté de droit.
Mon approche pluridisciplinaire de l’analyse et de la résolution de problème issu de mon cursus universitaire mêle études scientifiques et sciences humaines. Cette approche permettant à terme de donner du relief et de la finesse à l’expertise par une connaissance approfondie du domaine auquel se confronteront des problématiques complexes. C’est non seulement une connaissance théorique mais également pratique qu’exige la spécificité du domaine et de son emprise sur l’ensemble de l’activité humaine.
La cybersécurité est pour moi un domaine passionnant de par les défis qu’elle soulève. Au cœur de l’actualité et en constante mutation, elle nécessite une veille en adéquation avec mon goût pour l’enquête, la recherche et l’analyse de l’information. La cybersécurité est également l’un des remparts essentiels à l’absorption des ondes de choc émises par la révolution numérique auprès des entreprises, et se sentir utile dans le cadre de son métier est une perspective qui me motive d’autant plus. Les métiers de la cybersécurité ont par ailleurs un rôle de sensibilisation auprès de l’ensemble des usagers des outils informatiques qui m’intéresse beaucoup.
Théophile JOUVENOT
J’ai obtenu une licence en droit général à l’université de Besançon. Je me suis orienté vers le Master droit du Numérique 3C car je voulais sortir de ce cursus général et mélanger le droit avec les nouvelles technologies.
J’ai également choisi le Master de Besançon car il s’agit d’une université à taille humaine ou le contact avec le corps enseignant ainsi que les étudiants est facile.
Le Master droit du Numérique 3C est un bon compromis entre le droit et la pratique du monde professionnel. De plus le Master n’en est qu’à son début, il va donc encore évoluer et toujours pouvoir s’adapter aux futurs enjeux.
Léo LEBORGNE
J’ai fait une licence de droit privé à Toulouse 1 Capitole que j’ai obtenue avec mention. Cette formation est très généraliste et j’avais besoin de trouver une voie qui correspondait plus à mes centres d’intérêt. Lors du choix de la spécialisation en master 1 j’ai longuement hésité entre le droit du numérique et le droit éthique. Finalement mon appétence pour l’univers cyber et le machine learning m’ont poussé vers le master 1 numérique. Les matières qui nous ont été dispensées cette année-là ont accentué ma curiosité sur l’actualité high-tech. C’est donc tout naturellement que j’ai souhaité rejoindre la formation de l’UFR et le master 2 CCC. L’avantage de cette formation est indéniablement qu’elle ne se limite pas à un aspect purement juridique et apporte une véritable dualité de compétence à la fois sur le point de vue juridique et technique. À l’issue de cette année de master je pense m’orienter vers le consulting cyber, afin de conserver cette approche technique et perfectionner mes connaissances pratiques en la matière.
Maëlle LE MOAL
Mon cursus universitaire débute avec l’obtention d’une licence de Droit public obtenue avec mention à Nantes, spécialisée en droit des collectivités territoriales et en domanialité publique. Si j’ai toujours eu un attrait pour le droit public, j’ai souhaité m’orienter de nouveau dans un parcours de droit privé avec le Master 1 de Droit de la propriété intellectuelle de Nantes également, me permettant d’être en lien avec mon activité de dessinatrice.
Mon choix d’intégrer le Master 2 Droit du numérique CCC de Besançon trouve son origine dans ma passion pour l’équitation. En effet, je réalise depuis plusieurs années des jeux en ligne équestre et c’est en cela que l’univers du numérique m’a toujours intéressé.
Le Master 2 CCC m’a permis d’acquérir de solides connaissances dans le domaine de la sécurité informatique, de comprendre la construction d’un réseau, les problématiques cyber à l’international etc. Le Master 2 m’a permis de me découvrir une nouvelle passion pour la gestion de communication sur les réseaux sociaux, en particulier instagram dans le cadre de mon projet tuteuré.
Afin d’acquérir de l’expérience dans ce domaine, je réalise un stage au sein d’une entreprise espagnole à Madrid spécialisée dans la numérisation et externalisation des processus administratifs et financiers, la cyberveille, la signature électronique et de la présentation télématique de documents.
La réalisation de mon premier stage en cabinet d’avocats en Espagne m’a convaincu dans mon objectif de devenir avocate trilingue et d’obtenir une spécialisation en droit équin afin d’allier mes deux passions, le droit du numérique et le monde équestre. Je souhaiterais travailler pour des entreprises internationales équestres opérant dans le domaine du numérique telles que des selleries en ligne, application de gestion des concours internationaux, sites d’élevage, entreprises innovant dans les technologies équines et bien d’autres.
Martin MORIN
– Stagiaire au greffe du tribunal de commerce de Belfort –
Je suis titulaire d’une licence de droit que j’ai obtenue à l’université de franche comte. Afin de me spécialiser dans un domaine qui me passionne, je me suis tourné vers un master de droit du numérique cyberveille, cybersécurité, cyberdéfense.
Le fait d’étudier le droit dans un domaine qui me passionne est une opportunité non négligeable. Après avoir effectué mon stage au sein du tribunal de commerce, j’envisage d’intégrer le service juridique d’une entreprise ayant un lien avec les communications électroniques, mon profil correspondant parfaitement à ce type de société.
J’ai également rédigé un mémoire sur les clauses de propriété intellectuelle dans les conditions générales des services de partage de contenus en ligne. Le contentieux du numérique est un domaine très récent qui est en constante évolution, pouvoir travailler dans ce domaine est pour moi un objectif de carrière.
Corentin TILLEUL
Ayant depuis longtemps un attrait pour les nouvelles technologies, notamment depuis un stage en cabinet d’avocat ou j’ai pu suivre une affaire concernant l’infection d’un réseau informatique par un virus dridex, il a donc été logique pour moi, après l’obtention de ma licence de droit à l’Université Paris 5 Descartes, de me spécialiser en droit du numérique.
Cette spécialisation qui s’est faite sur 2 ans au sein du Master « Cyberveille, Cyberdéfense Cybersécurité » à Besançon m’a permis de développer mes connaissances théoriques mais également pratique en matière de protection des données personnelles. Elle m’a dès lors permis d’acquérir les compétences nécessaires à l’exercice du métier que je souhaite pratique, celui de DPO.
Kévin APPLENCOURT
Je suis actuellement en Master 2 droit du numérique, parcours Cyberveille, cybersécurité, cyberdéfense. Auparavant j’ai fait une licence de droit général à l’université de Bourgogne à Dijon. Depuis très longtemps intéressé par l’informatique, le numérique et toutes les nouvelles technologies de manière générale j’ai trouvé ce Master par pur hasard, mais quel joyeux hasard puisque cela m’a permis de renouer avec ma passion. A la fin de ce Master je souhaiterais être engagé en tant que délégué à la protection des données et/ou juriste d’entreprise. J’ai d’ailleurs un stage qui correspond parfaitement à cette perspective professionnelle dans l’entreprise ERDiL qui m’avait, en M1, accueillis pour un stage de deux mois. Cela sera l’occasion pour moi de poursuivre mon travail et de voir l’avancement des procédures mises en place.
Anton BERMAN
J’ai effectué ma licence de droit à Besançon, et c’est à la fin de ma 2e année que j’ai appris l’ouverture du master 2 CCC. Très intéressé par les enseignements qu’il proposait, j’y ai donc été intégré à l’issue de ma licence. Ce diplôme m’a permis d’acquérir une solide culture en numérique et même certaines compétences en informatiques, tout en poursuivant des apprentissages juridiques. Mon stage de deuxième année aura lieu en gendarmerie, et j’espère pouvoir travailler dans la défense à l’issue de cette période.
Adrien CHAMPENOIS
A la suite de l’obtention de ma licence en droit privée à l’Université François Rabelais à Tours, l’envie de joindre mon appétence pour les nouvelles technologies au domaine juridique s’est trouvée évidente. C’est la raison pour laquelle j’ai effectué un Master 1 en droit du numérique à l’université de Toulouse puis intégré le Master 2 CCC à Besançon. La diversité qui ressort de cette formation proposée par l’Université de Franche Comté se trouve être très enrichissante. L’alliage des enseignements juridiques et techniques nous permet d’appréhender les enjeux cyber de manière transversale. Cet apport pluridisciplinaire nous offre ainsi un éventail varié d’insertions professionnelles.
Corentin TILLEUL
Ayant depuis longtemps un attrait pour les nouvelles technologies, notamment depuis un stage en cabinet d’avocat ou j’ai pu suivre une affaire concernant l’infection d’un réseau informatique par un virus dridex, il a donc été logique pour moi, après l’obtention de ma licence de droit à l’Université Paris 5 Descartes, de me spécialiser en droit du numérique.
Cette spécialisation qui s’est faite sur 2 ans au sein du Master « Cyberveille, Cyberdéfense Cybersécurité » à Besançon m’a permis de développer mes connaissances théoriques mais également pratique en matière de protection des données personnelles. Elle m’a dès lors permis d’acquérir les compétences nécessaires à l’exercice du métier que je souhaite pratique, celui de DPO.
Paul TISSOT
Diplômé d’une licence de Droit à l’Université de Franche-Comté, j’ai intégré le Master Droit du Numérique parcours 3C, qui lie mon intérêt pour les nouvelles technologies et le Droit.
En effet je suis notamment passionné d’intelligence artificielle, c’est pourquoi j’ai réalisé mon mémoire de première année sur la justice prédictive et l’utilisation faite de l’IA.
Cette formation m’a permis de compléter mes connaissances juridiques mais également d’acquérir des notions de techniques et de culture informatique.
A la fin du Master 2, je réalise mon stage dans l’entreprise ProNewTech, société luxembourgeoise de Consulting et d’Engineering, dans laquelle je travaillerai au sein du service juridique.